C'est en lisant un ouvrage sur les maréchaux et généraux d'empire de
Jean Claude Demory, que je suis tombé sur l'histoire du général
Daumesnil.
La voilà en quelques mots...
Né en 1776 à Périgueux.
1793 soldat au 22 ème régiment de chasseurs à cheval
1797 brigadier puis maréchal des logis dans les guides à cheval du général Bonaparte
1800 Lieutenant régiment cahsseurs à cheval de la garde consulaire
1809 major du 1er régiment de chasseur à cheval de la garde impériale, amputé de la jambe gauche à Wagram
1812 général de brigade, gouverneur de Vincennes
1815 admis à la retraite
1830 à nouveau gouverneur de Vincennes
1831 Général de division
1832 Meurt du choléra à Vincennes.
Son plus haut fait d'arme, c'est d'avoir conservé la place forte de Vincennes qui abritait le plus grand arsenal de l'empire. Quand Paris capitule le 31/03/1814 il fait au parlementaire russe venu exiger la reddition de la place la réponse devenu célèbre : "rendez moi ma jambe, je vous rendrai Vincennes". Après Waterloo, il s'enfermera dans la citadelle et le maréchal Blücher dira de lui : "il n'a ni voulu se rendre ni voulu se vendre"
C'est donc une lithographie de Nicolas Maurin qui me servira de support




La voilà en quelques mots...
Né en 1776 à Périgueux.
1793 soldat au 22 ème régiment de chasseurs à cheval
1797 brigadier puis maréchal des logis dans les guides à cheval du général Bonaparte
1800 Lieutenant régiment cahsseurs à cheval de la garde consulaire
1809 major du 1er régiment de chasseur à cheval de la garde impériale, amputé de la jambe gauche à Wagram
1812 général de brigade, gouverneur de Vincennes
1815 admis à la retraite
1830 à nouveau gouverneur de Vincennes
1831 Général de division
1832 Meurt du choléra à Vincennes.
Son plus haut fait d'arme, c'est d'avoir conservé la place forte de Vincennes qui abritait le plus grand arsenal de l'empire. Quand Paris capitule le 31/03/1814 il fait au parlementaire russe venu exiger la reddition de la place la réponse devenu célèbre : "rendez moi ma jambe, je vous rendrai Vincennes". Après Waterloo, il s'enfermera dans la citadelle et le maréchal Blücher dira de lui : "il n'a ni voulu se rendre ni voulu se vendre"
C'est donc une lithographie de Nicolas Maurin qui me servira de support





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